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ville de vanves - Page 230

  • A VANVES, LES HABITANTS ONT REDUIT LEUR CONSOMMATION D’ELECTRICITE CET HIVER

    Tous les Franciliens ont réduit leur consommation électrique durant l'hiver, alors que planaient de possibles coupures de d’électricité sur leurs têtes, comme partout en France même si Paris et la petite couronne semblaient moins menacés. Et que le gouvernement multipliait les appels à réduire notre consommation.

    Selon une carte  rendue publique par Enedis, il semble bien que dans le secteur résidentiel en France, une baisse de consommation d’électricité de 4% à 14% selon les départements..Les Franciliens et notamment les Parisiens semblent avoir fait les efforts attendus : Paris : -10% ; Hauts-de-Seine : -8,3% ; Yvelines : -8,3% ; Val-d’Oise : -8% ; Seine-et-Marne : -7,4% ; Val-de-Marne : -7,3% ; Seine-Saint-Denis : -5,9% ; Essonne : -5,6%.  

    RTE salue la «mobilisation nationale en faveur des économies d’énergie qui ne s’essouffle pas bien qu’il demeure difficile de distinguer dans ce mouvement les parts respectives de contrainte économique et de sobriété choisie». Et prévient : «L’éloignement du risque pour cet hiver ne signifie pas pour autant la fin de la crise énergétique. En effet, d’une part, la tension observée sur le marché de l’électricité à l’automne 2022 a eu des répercussions économiques importantes, pour les finances publiques et les consommateurs, dont les effets persisteront dans les mois à venir. D’autre part, les perspectives pour les années à venir ne laissent pas présager d’un retour rapide à la situation d’avant crise, que ce soit pour la production du parc nucléaire ou pour le prix du gaz. Dans ce contexte, la poursuite des efforts engagés pour les économies d’énergie et de décarbonation des secteurs utilisant des énergies fossiles constitue un levier puissant pour augmenter la résilience de l’économie française à la crise».

  • ASSIDUITE AU CONSEIL REGIONAL : 88,7% POUR LE CONSEILLER DE VANVES

    La Commission d'éthique de la région Ile de France  a publiée récemment  les données sur l’assiduité des conseillers  régionaux aux assemblées plénières, aux commissions permanentes et aux commissions thématiques durant le 1er semestre. 2022. Bernard Gauducheau aurait un taux d’assuidité de 88,7% alors que le taux moyen en  ile de France est 84,69%, ce qui le situe au dessus de la moyenne. Pour un maire de surcroit, ce qui n’est pas le cas de tous les conseillers régionaux, qui ne cumulent pas deux mandats

    Le taux de présence moyen par région presque toujours au-dessus de 80% .Les régions se retrouvent globalement dans un mouchoir de poche concernant l'assiduité moyenne de leurs conseillers. Les régions Bretagne et Centre-Val de Loire font bonne figure, avec un taux de présence dépassant les 90%, et presque toutes les autres régions se maintiennent au-dessus des 80%. Une exception cependant : la région Grand Est, où l'assiduité ne s'élève qu'à 76%. Une contre-performance qui s'explique en partie par le format des séances lors de la crise liée au Covid-19, où seulement un tiers des élus pouvait siéger dans l'hémicycle.  

    Si la moyenne générale de l'assiduité des conseillers régionaux est plutôt bonne (86% de présence), quelques élus font fortement baisser ce chiffre. Une dizaine de conseillers régionaux passent en effet sous la barre des 40% de présence aux séances plénières alors qu'ils ont effectué l'ensemble de leur mandat. Mais il y a quelques cas rares  dont la présence a été nulle (avec un taux d’absence est de 100% au 1er trimestre 2022) au conseil régional d’Ile de France   : Philippe Juvin (LR), Emmanuelle Cosse (EELV) et Jordan Bardella (RN) : Ils ont été les moins assidus au conseil régional IDF au cours du premier semestre 2022, selon les données de la région. Ils ne sont tous simplement jamais venus, alors que Valérie Pécresse, en campagne pour la présidentielle, a été absente à 40% des réunions, toutes justifiées. Philippe Juvin député de la garenne-Colombes, n'a pas justifié 25% de ses absences, il était à l'époque candidat à l'investiture des Républicains pour l'élection présidentielle. À noter que le médecin a rendu son mandat de conseiller régional après son élection comme député en juin dernier. En revanche, les absences d'Emmanuelle Cosse et Jordan Bardella ont toutes été justifiées. Pour rappel, ces trois élus ont touché 2722,58 euros d'indemnités mensuelles comme conseillers régionaux.

    Au total, 37 élus cumulent plus de 50% d'absences à la région. Parmi les absents, l'ancienne secrétaire d'État chargée de l'Éducation prioritaire Nathalie Elimas. Elle cumule 88% d'absences, alors qu'elle a été mise en retrait du gouvernement le 5 mars 2022. Marlène Schiappa a 56% d'absence alors qu'elle était au premier semestre 2022, ministre déléguée chargée de la Citoyenneté. Autre absent, le socialiste Jérôme Guedj, qui cumule avec son poste de député de l'Essonne, est à 75% d'absence. D'autres personnalités politiques connues ne sont pas beaucoup plus assidues comme le député européen LR Geoffroy Didier (68% d'absences), l'animatrice et cheffe cuisinière Babette de Rozières (67%), le conseil d'Emmanuel Macron et ancien député Thierry Solère (64%), la sœur de Marine Le Pen, Marie-Caroline Le Pen (62%) ou encore l'ancien candidat socialiste à la présidentielle en 2017 Benoît Hamon (62%).

    Enfin, la Région a calculé les groupes les plus et les moins assidus sur le premier semestre 2022 : Le groupe de Rassemblement National (RN) est le moins assidu avec en moyenne 42% d'absences par conseiller régional, dont 2% de ces absences ne sont pas justifiées. S'en suit le groupe de la majorité présidentielle avec 35%, dont 9% des absences ne le sont pas

    En novembre 2022, le conseil régional a adopté son nouveau règlement intérieur qui renforce les sanctions en cas d'absence, avec des sanctions financières à l'encontre des conseillers régionaux qui font l'école buissonnière. Ils pourront perdre jusqu'à 50% de leur indemnité en cas d'absences non justifiées. «Pour ne pas être décomptées, les absences pour raison personnelle doivent être dûment justifiées par un document adéquat: congés maternité, paternité ou adoption ; mariage ou PACS ; décès familial ; absence momentanée de moyens de garde. Pour ne pas être décomptées, les absences pour raison médicale doivent être justifiées» selon la délibération.

  • REQUALIFICATION DES ESPACES DE LA GARE DE VANVES-MALAKOFF 140 ANS APRES SON OUVERTURE

    La SNCF a entamé des travaux de requalification 140 ans après l’inauguration de la gare SNCF de Vanves-Malakoff, le 1er Octobre 1883,  qui n’avait pas son aspect actuel de pont-gare qu’elle a pris en 1934, voilà bientôt 90 ans. Elle a connu de nombreux travaux au fil de ces années, mais le plus spectaculaire fut, entre l’automne 1985 et le printemps 1987, l’aménagement du saut de mouton réalisé parallèlement à la plateforrme de Montrouge/Chatillon qui accueille les ateliers d’entretien du TGV atlantique. Il s’agissait de permettre aux voies TGV de passer au dessus des voies de la ligne Paris-Montparnasse pour bifurquer vers Malakoff le long de la ligne 13, avec une nouvelle voie, et une autre rallongée avec une estacade permettant de rejoindre la gare de Vanves/Malakoff. Les deux ponts au dessus de l’avenue Ernest Laval avaient été reconstruits, élargis et ripés en eux temps dans la nuit du 20 au 21 Décembre 1986 et celle du 31Janvier au 1er Février 1987. Plus récemment cette gare a vu l’installation de rideaux de quai dans le cadre d’une expérimentation par SNCF Transilien de l’équivalent des portes palières du métro ,pour assurer une meilleure sécurité des voyageurs

    Les travaux menés actuellement  en gare de Vanves Malakoff consistent à améliorer de manière significative la lisibilité des accès de la gare depuis l'espace urbain et de fluidifier le parcours des voyageurs vers l'accès aux quais et aux espaces de services. Il est inscrit dans un programme de travaux  «Désaturation/reconfiguration des espaces voyageurs»  qui vise à optimiser la gestion des flux voyageurs dans les gares : Ils consistent à la rénovation de la zone vente, à la requalification des abords et des parvis d'accès  à la rénovation des façades extérieures, aux reprise de l'éclairage intérieur et extérieur, de la lisibilité des accès (LAL et nom de gare),  des installations de vidéo surveillance et téléaffichage, ede l'édicule en bac acier (côté Vanves) de l'escalier extérieur fixe (côté Malakoff) avec Micro-working, installation d'un kit Xs, création d’un WC automatique , l’installation de CAB et Bornes MT, une nouvelle charte signalétique

    Le chantier a commencé le 27 février avec quelques impacts qui vont changer les habitudes des voyageurs : la fermeture de la gare depuis le 6 mars. L'accès aux quais se fait par la passerelle existante (via le rue René Coche). Une signalétique piétonne a éré mise en place.  Des opérations de grutage de nuit ponctuelles entre avril et juin sont prévues. Des travaux de nuit vont être mis en place pour 12 semaines.  Les guichets et une partie des bâtiments voyageurs seront fermés pour la durée du projet : des distributeurs de titres de transport seront installés sur le parvis.  Mais, la gare restera desservie pendant toute la durée des travaux, sans modification de la desserte qui devrait durer présd’un an,…en dehors des gréves.